Convention collective Journaliste
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Synthèse du champ d'application
Convention collective des journalistes Brochure : 3136 IDCC : 1480
Cette convention régule les relations entre les employeurs et les journalistes professionnels.
Par journaliste professionnel est sous-entend celui qui, régulièrement, écrit des articles dans des publications ou dans des agences de presse.
Peuvent être considérés comme journalistes professionnels les rédacteurs-traducteurs, rédacteurs-réviseurs, reporters-photographes, autrement dit tous ceux qui collaborent à la rédaction. Sont donc exclus de ce champ les collaborateurs occassionnels.
A titre informatif, la convention est conclue pour une durée de 2 ans, reconduite tacitement par périodes sucessives de 1 an. Cependant, une partie signataire peut dénoncer le texte conventionnel en le notifiant au préalable aux autres signataires.
Le corps de la CCN négocié par les signataires prévoit notamment à titre d'exemple les règles relatives au recrutement (CDD, commission paritaire de l'emploi), à la durée du travail (travail de nuit, congés payés, congés exceptionnels, etc), à la maladie, accident du travail et absence, au licenciement, aux salaires, etc.
Les signataires du présent texte conventionnel se composent d'organisations patronales et d'organisations salariales.
Les organisations patronales sont ; Syndicat de la presse parisienne, Syndicat de la presse hebdomadaire parisienne, Fédération nationale de la presse hebdomadaire et périodique, Fédération nationale de la presse d'information spécialisée, Fédération française des agences de presse, Syndicat des quotidiens départementaux, Syndicat de la presse quotidienne régionale, Association des employeurs de l'audiovisuel du secteur public, Union nationale de la presse périodique d'information, Agence France-Presse.
Puis, les organisations de salariés sont les suivantes ; Syndicat des journalistes français CFDT, Syndicat national des journalistes CGT, Syndicat général des journalistes CGT - FO, Syndicat des journalistes CGC, Syndicat chrétien des journalistes CFTC.
A noter qu'une organisation non signataire peut tout à fait adhérer au présent texte. A titre d'exemple, le Syndicat de la presse indépendante d'information en ligne Créatis est devenue adhérente, par lettre du 23 août 2016.
La convention s'applique sur le territoire national. Celle-ci s'apparente à d'autres comme :
- La convention collective des employés de la presse quotidienne régionale de province
- La convention collective des cadres de la presse quotidienne regionale
- La convention collective des employés des agences de presse
- La convention collective de la presse hebdomadaire regionale
- La convention collective des employés de la presse d'information spécialisée
- La convention collective des employés de la presse et magazine d'information
- La convention collective des employés de la presse hebdomadaire/périodique et régionale parisienne
Nom officiel
Convention collective des journalistes du 1er novembre 1976, refondue le 27 octobre 1987
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Les dernières actualités de la Convention collective Journaliste
Textes Attachés : Formation professionnelle pour les années 2020 à 2022
20 octobre 2020
L'accord non étendu du 30 janvier 2020 est relatif à la formation professionnelle pour les années 2020 à 2022 de la convention collective des journalistes (1480) et la convention collective des éditeurs de la presse magazine (IDCC-3225).
Champ d'application
Les présentes dispositions s'appliquent en France métropolitaine et dans les départements et collectivités d'outre-mer suivants : la Guyane, la Martinique, la Guadeloupe, La Réunion, Mayotte, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et Saint-Pierre-et-Miquelon.
Les entreprises concernées relèvent des conventions collectives suivantes :
- la nouvelle convention collective des employés et des cadres des éditeurs de la presse magazine (IDCC 3225) qui remplace la convention collective des employés des éditeurs de la presse magazine (IDCC 3202) et la convention collective des cadres des éditeurs de la presse magazine (IDCC 3201);
- la convention collective nationale des journalistes du 1er novembre 1976, refondue le 27 octobre 1987 (IDCC 1480).
L'accord du 30 janvier 2020 annule et remplace les dispositions contraires ou obsolètes de l'accord collectif national relatif à la formation professionnelle de la presse du 6 novembre 2017.
Accès aux dispositifs de formation
Plusieurs dispositifs peuvent être mis en place afin d'assurer l’adaptation des salariés à leur poste de travail. En effet, la formation professionnelle est ouverte aux salariés dans le cadre des dispositifs légales et réglementaires en vigueur.
Un Conseil en évolution professionnelle est accessible à toute personne conformément aux dispositions du code du travail. Les organismes sont les suivants : Pôle emploi, l'APEC, les missions locales, Cap emploi pour les personnes en situation de handicap et l'organisme désigné régionalement après avis du CREFOP.
Tous les deux ans, le salarié bénéficient d'un entretien professionnel lui permettant d'envisager les perspectives d'évolution professionnelle notamment en termes de qualification et d'emploi. Tous les six ans, l'entretien professionnel donne lieu à un bilan faisant un état des lieux récapitulatif du parcours professionnel du salarié.
Contribution des entreprises
Les entreprises versent obligatoirement à l'AFDAS la contribution légale.
La taxe d'apprentissage est égale à 0,68 % de l'assiette retenue (la contribution à la formation professionnelle est égale à 0,60 % de l'assiette retenue et le solde destiné aux dépenses libératoires est égal à 0,08 % de la même assiette).
Pour les entreprises de moins de 11 salariés, la contribution à la formation professionnelle est égale à 0,55 % de l'assiette des contributions, et pour les entreprises d'au moins 11 salariés, la contribution à la formation professionnelle est égale à 1 % de l'assiette des contributions.
Par ailleurs, dans le cadre du financement du compte personnel de formation des salariés en CDD, les entreprises versent obligatoirement une contribution dont le montant est égal à 1 %, calculée sur la masse salariale brute versée aux titulaires d'un contrat à durée déterminée pendant l'année.
De plus, une contribution conventionnelle est créée pour les entreprises de 11 salariés et plus : 0,1 % du montant des salaires bruts versé aux salariés en CDI et aux salariés en CDD pour les entreprises de 11 à 49 salariés ; 0,4 % du montant des salaires bruts versé aux salariés en CDI et aux salariés en CDD pour les entreprises de 50 salariés et plus.
Il convient de préciser qu'une entreprise peut effectuer le versement d'une contribution volontaire.
Textes Attachés : Garanties minimales de prévoyance
30 septembre 2020
La convention collective nationale des journalistes a été mise à jour par l'accord étendu du 31 janvier 2019 relatif aux garanties minimales de prévoyance.
Dispositions applicables aux garanties minimales de prévoyance
Au sein du présent accord sont abordées des dispositions relatives à diverses thématiques, à savoir :
- La couverture minimale en matière de prévoyance complémentaire
Il va s’agir de présenter les garanties que l’on retrouve dans le cadre de la prévoyance des salariés évoluant au sein des entreprises privées :
- Garantie décès ;
- Garantie incapacité temporaire de travail ;
- Garantie invalidité.
- La mise en conformité des entreprises
Les partenaires sociaux rappellent aux entreprise que lorsqu'elles ne font pas bénéficier leurs salariés d’une couverture de prévoyance complémentaire, elles se doivent tout de même de leur allouer une couverture minimale.
- Financement de la couverture minimale
Il revient à l’employeur de financer en partie la couverture minimale de prévoyance et ce, à hauteur de 66% au minimum.
A titre informatif, les dispositions du présent accord ont été étendues par voie d'arrêté en date du 18 septembre 2020.
Par ailleurs, les partenaires sociaux soulignent qu’il n’était pas nécessaire au sein du présent texte d’intégrer des stipulations spécifiques pour les entreprises qui comptent moins de 50 salariés, le fait étant que la très large majorité des entreprises comptent moins de 50 salariés car se sont de petites et très petites entreprises.
Textes Salaires : Salaires au 1er novembre 2019
09 avril 2020
Le protocole d’accord non étendu en date du 7 novembre 2019 a été inséré au sein de la convention collective nationale des journalistes.
Précision sur les salaires au 1er novembre 2019
Le présent protocole d’accord a été adopté par les partenaires sociaux afin de préciser une modalité applicables aux salaires qui sont perçus par les journalistes qui relèvent de la présente convention collective référencée sous le numéro de brochure 3136 et IDCC 1480.
Il est en effet indiqué le fait qu’il a été décidé d’augmenter le barème des salaires des journalistes de la presse périodique régionale, et ce, à hauteur de 0,9%.
Cela a donc pour effet de porter la valeur du point à 3,99 euros bruts.
Textes Attachés : Classification et salaires minima
12 février 2020
L'avenant n°1 du 11 octobre 2019 à l'accord du 3 juillet 2019 non étendu, concerne la classification et les salaires minima dans le cadre de la convention collective des journalistes.
Modifications de l'accord du 3 juillet 2019
Par le présent avenant, il a été décidé du réaménagement de la définition de l'agence de presse audiovisuelle.
A cet égard, il est indiqué que par agence de presse audiovisuelle, on entend les entreprises qui entrent dans le champ d'application de l'accord du 3 juillet 2019 et qui fournissent des éléments d'information associant le son et l'image (majoritairement à des services de télévision au sens de la loi n°86-1067 du 30 septembre 1986).
Par ailleurs, le présent avenant a ajouté une précision relative à la pige en agence de presse radio.
En effet, dans l'annexe V de l'accord du 3 juillet 2019, à la rubrique agences de presse radio, au troisième point, les termes "journée de journaux radio" ont été remplacés par les termes "journée de présentation de journaux radio".
Enfin, le présent avenant en date du 11 octobre 2019 a permis de réaliser un correctif de l'annexe VI de l'accord.
A ce titre le salaire mensuel brut minimum garanti pour le groupe 1 est désormais fixé comme suit:
Groupe de qualification | Du 1er janvier 2020 au 31 décembre 2020 | Du 1er janvier 2021 au 31 décembre 2021 | Du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2022 | Du 1er janvier 2023 au 31 décembre 2023 |
Groupe 1 | 1 771€ | 1 771€ | 1 771€ | 1 771€ |
Textes Attachés : Classification et salaires minima des journalistes d'agences de presse
22 novembre 2019
L'accord non étendu du 3 juillet 2019 est relatif à la classification et aux salaires minima des journalistes d'agences de presse dans le cadre de la convention collective nationale Journalistes.
Dispositions générales de l'accord
Le présent accord se substitue à tous les accords et leurs annexes sur le même objet et s'applique :
- aux entreprises inscrites sur une liste établie par arrêté conjoint des ministres chargés de la communication et du budget, pris sur proposition de la commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP)
- les entreprises ayant une telle activité principale et relevant du code 63.91Z de la nomenclature NAF
L'accord du 3 juillet 2019 ne prévoit pas de dispositions spécifiques pour les entreprises de moins de 50 salariés.
L'entrée en vigueur de l'accord est prévue au 1er janvier 2020.
Classification et emplois des journalistes permanents
La classification des emplois repères comprend 8 groupes de qualification.
L'emploi repère est élaboré à partir de tâches et d'activités répertoriées auprès des entreprises de la branche.
Les emplois repères sont classés par groupes en fonction de la production et de l'édition, ils sont définis dans l'annexe III de l'accord.
Les groupes de qualification sont définies dans l'annexe II du présent accord.
Quant au positionnement au sein des groupes, les agences de presse s'engagent à positionner les journalistes sur le groupe de la fonction qu'il occupe effectivement.
Ainsi, le groupe 1 est réservé aux journalistes débutants, qui peuvent rester dans ce groupe au maximum 1 an si ils sont issus d'un cursus reconnu par la CPNEJ ou 2 au plus si leur cursus n'est pas reconnu par la commission.
Le groupe 2 est réservé aux "junior" qui peuvent y rester 5 ans au plus.
Par ailleurs, tout journaliste titulaire doit être positionné au minimum dans le groupe 2.
Il est à noter que, tous les salariés bénéficient d'un entretien professionnel sur les perspectives d'évolution de leur carrière tous les deux ans.
Si un désaccord concernant le positionnement dans la classification survient entre un salarié et un employeur, la commission paritaire amiable peut être saisie.
Salaires et primes d'ancienneté des journalistes permanents
Le salaire brut minimum garanti est calculé pour une durée de 35 heures par semaine, soit 151,67 heures par mois, ce qui correspond à la durée légale et exclut la prime d'ancienneté.
Une mesure transitoire est prévue pour les agences de presse audiovisuelle qui disposent de 3 ans pour mettre en place progressivement les dispositions.
Cette possibilité n'est pas ouverte pour les journalistes du groupe 1 qui doivent bénéficier du salaire minimum garanti d'entrée.
La prime d'ancienneté est calculée sur la base du salaire mensuel brut garanti du groupe de qualification auquel appartient chaque salarié.
Les salaires mensuels bruts minima garantis pour les journalistes permanents sont détaillés par groupe dans le tableau suivant :
GROUPE de qualification | SALAIRE MENSUEL brut minimum garanti |
Groupe 1 | 1 771 euros |
Groupe 2 | 1 973 euros |
Groupe 3 | 2 176 euros |
Groupe 4 | 2 378 euros |
Groupe 5 | 2 631 euros |
Groupe 6 | 2 884 euros |
Groupe 7 | 3 137 euros |
Groupe 8 | 3 491 euros |
Dispositions concernant les journalistes pigistes
Le journaliste pigiste ou temporaire n'est pas tenu à une durée déterminé de temps de travail avec l'agence de presse, ainsi il peut être embauché à la demi-journée ou journée, à l'acte pour une agence de presse écrite, à l'acte ou à la journée pour une agence de presse radio ou encore à la journée pour une agence d'audiovisuel.
La rémunération de la prestation présume le contrat de travail entre les parties.
Le travail temporaire des journalistes pigistes est un usage constant dans la branche.
Ainsi, un journaliste pigiste peut travailler simultanément dans plusieurs entreprises de presse.
Payé en salaire la pige bénéficie d'un barème minimum que chaque agence doit respecter qu'il s'agisse d'un titulaire ou stagiaire .
Il est à préciser que, la prime d’ancienneté majore la pige brute.
Le barème minimum pour les journalistes pigistes est le suivant :
PRESTATION | SALAIRE BRUT MINIMUM | |
Agences de presse photographiques | Demi-journée | 70 euros |
Agences de presse photographiques | Journée | 140 euros |
Agences de presse écrite | Feuillet de 1500 signes | 52 euros |
Agences de presse radio | Fourniture d'un son | 45 euros |
Agences de presse radio | Fourniture d'un papier | 50 euros |
Agences de presse radio | Journée de journaux radio inférieure ou égale à 6 heures de travail | 100 euros |
Agences de presse radio | Journée de journaux radio supérieure à 6 heures de travail | 115 euros |
Agences de presse audiovisuelles (Cas1) | Fourniture de EAI sur une journée | 100 euros |
Agences de presse audiovisuelles (Cas1) | Fourniture de EAI et commentaires sur une journée | 115 euros |
Agences de presse audiovisuelles (Cas2) | Reporter vidéo ou JRI (hors cas 1) sur une journée | 130 euros |
EAI : Eléments audiovisuels d'information
Le premier cas correspond au journaliste pigiste reporteur vidéo ou JRI qui collabore avec une agence audiovisuelle et a conclu un contrat de fourniture d'EAI dans une zone géographique déterminée, autrement il s'agit du cas 2, lorsqu'une zone géographique n'est pas déterminée par contrat.
Classifications et barèmes de salaires
Le tableau suivant présente les salaires mensuels bruts garantis pour les agences de presse audiovisuelles par groupe de qualification en fonction de chaque emploi repère pour les 4 années à venir (2020 à 2023) :
GROUPE de qualification | EMPLOIS REPERES | DU 1ER JANVIER 2020 AU 31 DÉCEMBRE 2020 | DU 1ER JANVIER 2021 AU 31 DÉCEMBRE 2021 | DU 1ER JANVIER 2022 AU 31 DÉCEMBRE 2022 | DU 1ER JANVIER 2023 AU 31 DÉCEMBRE 2023 |
Groupe 1 | Rédacteur-Reporter débutant | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros |
Groupe 1 | Reporter photo débutant | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros |
Groupe 1 | Reporter vidéo (ou JRI) débutant | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros |
Groupe 1 | Infographiste débutant | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros |
Groupe 1 | Rédacteur-Reporter-Présentateur débutant | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros |
Groupe 1 | Editeur photo débutant | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros |
Groupe 1 | Editeur numérique débutant | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros |
Groupe 1 | Rédacteur maquettiste débutant | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros |
Groupe 1 | Secrétaire de rédaction débutant | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros | 1 750 euros |
Groupe 2 | Rédacteur-Reporter junior | 2 126 euros | 2 082 euros | 2 038 euros | 1 994 euros |
Groupe 2 | Reporter photo junior | 2 126 euros | 2 082 euros | 2 038 euros | 1 994 euros |
Groupe 2 | Reporter vidéo (ou JRI) junior | 2 126 euros | 2 082 euros | 2 038 euros | 1 994 euros |
Groupe 2 | Infographiste junior | 2 126 euros | 2 082 euros | 2 038 euros | 1 994 euros |
Groupe 2 | Rédacteur-Reporter-Présentateur junior | 2 126 euros | 2 082 euros | 2 038 euros | 1 994 euros |
Groupe 2 | Editeur photo junior | 2 126 euros | 2 082 euros | 2 038 euros | 1 994 euros |
Groupe 2 | Editeur numérique junior | 2 126 euros | 2 082 euros | 2 038 euros | 1 994 euros |
Groupe 2 | Rédacteur maquettiste junior | 2 126 euros | 2 082 euros | 2 038 euros | 1 994 euros |
Groupe 2 | Secrétaire de rédaction junior | 2 238 euros | 2 166 euros | 2 094 euros | 2 022 euros |
Groupe 3 | Rédacteur-Reporter confirmé | 2 278 euros | 2 246 euros | 2 214 euros | 2 182 euros |
Groupe 3 | Reporter photo confirmé | 2 278 euros | 2 246 euros | 2 214 euros | 2 182 euros |
Groupe 3 | Reporter vidéo (ou JRI) confirmé | 2 278 euros | 2 246 euros | 2 214 euros | 2 182 euros |
Groupe 3 | Infographiste confirmé | 2 278 euros | 2 246 euros | 2 214 euros | 2 182 euros |
Groupe 3 | Rédacteur-Reporter-Présentateur confirmé | 2 278 euros | 2 246 euros | 2 214 euros | 2 182 euros |
Groupe 3 | Editeur photo confirmé | 2 278 euros | 2 246 euros | 2 214 euros | 2 182 euros |
Groupe 3 | Editeur numérique confirmé | 2 278 euros | 2 246 euros | 2 214 euros | 2 182 euros |
Groupe 3 | Rédacteur maquettiste confirmé | 2 278 euros | 2 246 euros | 2 214 euros | 2 182 euros |
Groupe 3 | Secrétaire de rédaction confirmé | 2 503 euros | 2 414 euros | 2 326 euros | 2 238 euros |
Groupe 4 | Rédacteur-Reporter expert | 2 431 euros | 2 410 euros | 2 390 euros | 2 370 euros |
Groupe 4 | Reporter photo expert | 2 431 euros | 2 410 euros | 2 390 euros | 2 370 euros |
Groupe 4 | Reporter vidéo (ou JRI) expert | 2 431 euros | 2 410 euros | 2 390 euros | 2 370 euros |
Groupe 4 | Infographiste expert | 2 431 euros | 2 410 euros | 2 390 euros | 2 370 euros |
Groupe 4 | Rédacteur-Reporter-Présentateur expert | 2 431 euros | 2 410 euros | 2 390 euros | 2 370 euros |
Groupe 4 | Grand reporter | 2 599 euros | 2 536 euros | 2 474 euros | 2 412 euros |
Groupe 4 | Editeur photo expert | 2 431 euros | 2 410 euros | 2 390 euros | 2 370 euros |
Groupe 4 | Editeur numérique expert | 2 431 euros | 2 410 euros | 2 390 euros | 2 370 euros |
Groupe 4 | Rédacteur maquettiste expert | 2 431 euros | 2 410 euros | 2 390 euros | 2 370 euros |
Groupe 4 | Secrétaire de rédaction expert | 3 103 euros | 2 915 euros | 2 726 euros | 2 538 euros |
Groupe 5 | Chef de rubrique | 3 041 euros | 2 930 euros | 2 820 euros | 2 710 euros |
Groupe 5 | Chef d'édition | 3 041 euros | 2 930 euros | 2 820 euros | 2 710 euros |
Groupe 5 | Chef de projet éditiorial | 3 041 euros | 2 930 euros | 2 820 euros | 2 710 euros |
Groupe 5 | Chef des informations | 3 321 euros | 3 141 euros | 2 960 euros | 2 780 euros |
Groupe 5 | Chef de service adjoint | 2 649 | 2 636 euros | 2 624 euros | 2 612 euros |
Groupe 5 | Editorialiste | 4 363 euros | 3 922 euros | 3 481 euros | 3 041 euros |
Groupe 6 | Chef de service | 3 091 euros | 3 030 euros | 2 970 euros | 2 910 euros |
Groupe 6 | Chef de bureau | 3 091 euros | 3 030 euros | 2 970 euros | 2 910 euros |
Groupe 7 | Secrétaire général de la rédaction | 3 645 euros | 3 509 euros | 3 372 euros | 3 236 euros |
Groupe 7 | Rédacteur en chef adjoint | 3 835 euros | 3 651 euros | 3 468 euros | 3 284 euros |
Groupe 8 | Rédacteur en chef | 4 543 euros | 4 282 euros | 4 021 euros | 3 761 euros |
Pour plus de renseignements, cliquez ici.
Texte de base : AFDAS (OPCO)
06 septembre 2019
L'accord non étendu du 19 novembre 2018 instaure un opérateur de compétences : OPCO (AFDAS) dans les secteurs de la culture, des industries créatives, des médias, de la communication, du sport, des loisirs et du divertissement.
Conventions collectives concernées
Les conventions collectives concernées par les dispositions de l'accord professionnel du 19 novembre 2018 sont les suivantes:
- Convention collective : Édition phonographique (n°3361)
- Convention collective : Entreprises techniques au service de la création et de l'événement (n°3355)
- Convention collective : Portage de presse (n°3350)
- Convention collective : Production audiovisuelle (n°3346)
- Convention collective : Sport (n°3328)
- Convention collective : Chaînes thématiques (n°3319)
- Convention collective : Mannequins adultes et mannequins enfants de moins de seize ans employés par les agences de mannequins (n°3318)
- Convention collective : Distribution directe documents, journaux et objets publicitaires non adressés distribués gratuitement dans les boîtes à lettres, journaux gratuits (n°3316)
- Convention collective : Production de films d'animation (n°3314)
- Convention collective : Presse hebdomadaire régionale (n°3291)
- Convention collective : Télévision (artistes-interprètes engagés pour des émissions de) (n°3278)
- Convention collective : Espaces de loisirs, d'attractions et culturels (ccnelac) (n°3275)
- Convention collective : Entreprises artistiques et culturelles (n°3226)
- Convention collective : Cinéma (industrie, distribution) (n°3174)
- Convention collective : Casinos (n°3167)
- Convention collective : Presse quotidienne régionale et départementale (cadres) (n°3141)
- Convention collective : Presse quotidienne régionale, départementale de province (ouvriers et employés) (n°3140)
- Convention collective : Journalistes (n°3136)
- Convention collective : Édition (n°3103)
- Convention collective : Exploitation cinématographique (n°3097)
- Convention collective : Publicité et assimilées (entreprises) (cadres, techniciens et employés) (n°3073)
- Convention collective : Spectacle vivant (n°3372)
Missions
L'AFDAS assure plusieurs missions au titre du développement de la formation professionnelle, du financement et des services.
Concernant ses missions de financement, à titre d'exemple, l'AFDAS gère les fonds de la formation professionnelle, assure le financement des dispositifs légaux de formation, prend en charge les frais afférents aux formations, collecte et gère les contributions supplémentaires, etc.
Concernant ses missions de services, à titre d'exemple, l'AFDAS assure un service de proximité au bénéfice des très petites, petites et moyennes entreprises, apporte un appui technique aux branches professionnelles, etc.
L'AFDAS peut recevoir toutes les ressources provenant des contributions légales, conventionnelles et volontaires, ainsi que les subventions publiques.
L'AFDAS gère de manière paritaire les fonds de la formation professionnelle à travers plusieurs sections financières relatives à l'alternance, au développement des compétences au bénéfice des entreprises de moins de 50 salariés, aux dispositifs d'accès destinés aux intermittents du spectacle, aux dispositifs d'accès destinés aux artistes-auteurs, aux dispositifs et services finançables au titre des contributions conventionnelles, aux dispositifs et services finançables au titre des versements volontaires.
Organes de gouvernance
- Conseil d’administration : 40 membres répartis en 2 collèges paritaires (salariés et employeurs). Le Conseil arrête les orientations stratégiques de l'OPCO, assure le bon fonctionnement de l'OPCO, approuve le budget, etc.
- Bureau : le bureau est composé des membres suivants : 1 président et 1 vice-président, 1 trésorier et 1 trésorier adjoint, 1 secrétaire et 1 secrétaire adjoint. Le bureau prépare les décision du conseil d'administration autrement dit il arrête l'ordre du jour du conseil, arrête les budgets et les comptes annuels et prépare les rapports annuels sur l'activité, la gestion et la situation morale et financière de l'AFDAS.
- Pôles paritaires sectoriels et fonds des artistes-auteurs : 4 pôles paritaires sont constitués : spectacles et création, médias, communication et industries créatives et sport, loisirs et divertissement. Les différents pôles ont pour fonction de préparer les réunions du conseil d'administration ainsi que de proposer des orientations, priorités et conditions de prise en charge des actions de formation. Il existe 2 pôles supplémentaires à savoir le pôle paritaire des intermittents du spectacle et le pôle pour les fonds des artistes-auteurs.
- Commissions paritaires de gestion des contributions conventionnelles : une telle commission est mise en place en cas d'instauration d'une contribution conventionnelle de branche ou interbranche ne correspondant pas exactement au même périmètre professionnel que le pôle paritaire sectoriel concerné.
Textes Salaires : Salaires au 1er novembre 2018 de la presse périodique régionale
21 juin 2019
Le protocole d'accord non étendu du 27 septembre 2018 est relatif aux salaires en ce qui concerne la convention collective n° 3136 "Journalistes".
Rappel du champ d'application
La convention collective n°3136 "Journaliste" a pour but de réguler les relations de travail entre les employeurs et journalistes professionnels.
Il convient de préciser que le terme "journaliste professionnel" renvoie à la personne chargée de rédiger des articles de façon régulière.
Ainsi, peuvent être considérés comme journalistes les personnes suivantes :
- Rédacteurs-traducteurs ;
- Rédacteurs-réviseurs ;
- Reporters-photographes.
Actualisation des salaires
Le présent accord prévoit qu'à compter du 1er novembre 2018, il sera procédé à une augmentation du barème des salaires des journalistes de la presse régionale à hauteur de 1 %.
Cette augmentation aura donc pour conséquence de porter la valeur du point à 3,95 €.
Textes Salaires : Salaires minima garantis mensuels des journalistes professionnels de la presse d'information spécialisée
11 mai 2019
Le protocole d'accord non étendu du 22 novembre 2018 est relatif aux minima garantis mensuels des journalistes professionnels de la presse d'information spécialisée.
Salaires minimaux conventionnels
Les salaires minimaux conventionnels à compter du 1er janvier 2019 sont établis à partir du tableau suivant :
QUALIFICATION | NIVEAU | SALAIRES MINIMAUX conventionnels |
Directeur des rédactions | 185 | 2 603 |
Rédacteur en chef | 185 | 2 603 |
Rédacteur en chef adjoint | 160 | 2 268 |
Chef de service rédactionnel | 140 | 1 993 |
Secrétaire général de la rédaction | 140 | 1 993 |
Premier secrétaire de rédaction | 133 | 1 904 |
Premier rédacteur graphiste | 133 | 1 904 |
Chef de rubrique | 133 | 1 904 |
Secrétaire de rédaction unique | 133 | 1 904 |
Reporter-photographe | 110 | 1 594 |
Reporter-dessinateur | 110 | 1 594 |
Reporter | 110 | 1 594 |
Secrétaire de rédaction | 110 | 1 594 |
Rédacteur-rewriter | 110 | 1 594 |
Rédacteur réviseur | 110 | 1 594 |
Rédacteur graphiste | 110 | 1 594 |
Rédacteur unique | 105 | 1 567 |
Rédacteur spécialisé | 105 | 1 567 |
Rédacteur | 100 | 1 549 |
Stagiaire 2e année | 95 | 1 540 |
Stagiaire 1re année | 90 | 1 518 |
Par ailleurs, à compter du 1er janvier 2019, le barème de pige est déterminé de la manière suivante :
- 43,20 € brut le feuillet de 1 500 signes pour une diffusion dans un titre de presse diffusé à 5 000 exemplaires et moins ;
- 46,25 € le feuillet de 1 500 signes pour une diffusion dans un titre de presse diffusé à plus de 5 000 exemplaires.
Textes Attachés : Modification des accords des 18 janvier 2017 et 30 janvier 2018 relatifs aux salaires minima des journalistes d'agences de presse
15 février 2019
L'avenant non étendu en date du 30 juin 2018 porte sur les salaires minima des journalistes d'agences de presse.
Salaires minima
Cet accord a été conclu dans le but de modifier les deux derniers accords relatifs aux salaires minima des journalistes d'agences de presse, et ce, en raison de la parution de la loi de Travail le 8 août 2016.
Par conséquent, les nouveaux articles 3 et 4 relatifs à la durée de validité de l'accord ont été ajoutés aux accords du 18 et 30 janvier 2017 relatifs aux salaires minima des journalistes d'agences de presse.
Désormais, ces deux articles prévoient dans chacun des deux accords cités précédemment que "le présent accord est conclu pour une durée indéterminée".
Enfin, il est précisé que l'avenant du 30 juin 2018 est lui aussi conclu pour une durée indéterminée.
Textes Salaires : Classification des journalistes professionnels de la presse quotidienne nationale
29 septembre 2018
L'accord non étendu du 1er avril 2018 concerne la classification des journalistes professionnels de la presse quotidienne nationale des journalistes.
Objet de l'accord
Les partenaires sociaux ont engagé des négociations pour la révision des dispositions conventionnelles relatives à la classification des fonctions de journaliste professionnel. Par conséquent, une nouvelle classification est établie par le présent accord.
La nouvelle classification est basée sur l'adoption d'une grille renouvelée de classification, des barèmes de salaires minima correspondants et la définition de niveaux de contributions.
L'accord précise que les entreprises disposent d'un délai de 24 mois à partir de l'entrée en vigueur de celui-ci pour mettre en œuvre la nouvelle classification.
A noter que les journalistes embauchés avant l'entrée en vigueur de l'accord sont positionnés dans la nouvelle classification selon le tableau de transposition de la nouvelle grille. Pour les journalistes embauchés avant l’entrée en vigueur du présent accord et relevant des anciens coefficients 170, 175 et 260, leur rémunération ne peut être inférieure au nouveau salaire minimum majoré de l’écart constaté, à la date d’entrée en vigueur du présent accord, entre le nouveau salaire minimum et l’ancien.
Dans l'hypothèse où des difficultés apparaissent concernant l'interprétation ou l'application de l'accord, une commission paritaire d'interprétation et de suivi pourra être saisie par les parties.
Grille de classification
Les fonctions et définitions de la grille de classification ne sont pas repris dans l'article, pour consulter la grille Cliquez ici.
Famille | Niveau 1 | Niveau 2 | Niveau 3 | Niveau 4 |
Stagiaire | 1 829,91 € | 1 996,27 € | 2 162,62 € | |
Production éditoriale | 2 578,51 € | 2 811,41 € | 3 060,94 € | 3 293,84 € |
Management de la rédaction | 3 293,84 € | 3 543,37 € | 3 709,73 € | |
Direction éditoriale | 4 524,87 € | 4 974,03 € | 5 423,19 € |
Position | Coefficient | Salaires |
1.1 | 110 | 1 829,91 € |
1.2 | 120 | 1 996,27 € |
1.3 | 130 | 2 162,62 € |
2.1 | 155 | 2 578,51 € |
2.2 | 169 | 2 811,41 € |
2.3 | 184 | 3 060,94 € |
2.4 | 198 | 3 293,84 € |
3.1 | 198 | 3 293,84 € |
3.2 | 213 | 3 543,37 € |
3.3 | 223 | 3 709,73 € |
4.1 | 272 | 4 524,87 € |
4.2 | 299 | 4 974,03 € |
4.3 | 326 | 5 423,19 € |
L'accord prévoit dans un document 2 les niveaux de contributions et ses différents niveaux.
Textes Salaires : Minima garantis mensuels des journalistes professionnels de la presse d'information spécialisée au 1er avril 2018
22 septembre 2018
L'accord non étendu du 21 mars 2018 fixe les minima garantis mensuels des journalistes professionnels de la presse d'information spécialisée (convention collective des journalistes).
Minima garantis
A partir du 1er avril 2018, les minima garantis mensuels sont revalorisés de 0,8 % et de 0,4 % au 1er juillet 2018 :
Qualification | Niveau | Salaires |
Directeur des rédactions | 185 | 2 572 |
Rédacteur en chef | 185 | 2 572 |
Rédacteur en chef adjoint | 160 | 2 241 |
Chef de service rédactionnel | 140 | 1 970 |
Secrétaire général de la rédaction | 140 | 1 970 |
Premier secrétaire de rédaction | 133 | 1 881 |
Premier rédacteur graphiste | 133 | 1 881 |
Chef de rubrique | 133 | 1 881 |
Secrétaire de rédaction unique | 133 | 1 881 |
Reporter-photographe | 110 | 1 576 |
Reporter-dessinateur | 110 | 1 576 |
Reporter | 110 | 1 576 |
Secrétaire de rédaction | 110 | 1 576 |
Rédacteur-rewriter | 110 | 1 576 |
Rédacteur réviseur | 110 | 1 576 |
Rédacteur graphiste | 110 | 1 576 |
Rédacteur unique | 105 | 1 548 |
Rédacteur spécialisé | 105 | 1 548 |
Rédacteur | 100 | 1 531 |
Stagiaire 2e année | 95 | 1 522 |
Stagiaire 1re année | 90 | 1 500 |
Dans la situation où le journaliste utilise à la demande son employeur son métariel personnel, une prime d'appareil photographique est aversée au journaliste, la prime est fixée à 52 €.
Par ailleur, au 1er juillet 2018 les minima sont fixés comme suit :
Qualification | Niveau | Salaires |
Directeur des rédactions | 185 | 2 583 |
Rédacteur en chef | 185 | 2 583 |
Rédacteur en chef adjoint | 160 | 2 250 |
Chef de service rédactionnel | 140 | 1 978 |
Secrétaire général de la rédaction | 140 | 1 978 |
Premier secrétaire de rédaction | 133 | 1 888 |
Premier rédacteur graphiste | 133 | 1 888 |
Chef de rubrique | 133 | 1 888 |
Secrétaire de rédaction unique | 133 | 1 888 |
Reporter-photographe | 110 | 1 582 |
Reporter-dessinateur | 110 | 1 582 |
Reporter | 110 | 1 582 |
Secrétaire de rédaction | 110 | 1 582 |
Rédacteur-rewriter | 110 | 1 582 |
Rédacteur réviseur | 110 | 1 582 |
Rédacteur graphiste | 110 | 1 582 |
Rédacteur unique | 105 | 1 554 |
Rédacteur spécialisé | 105 | 1 554 |
Rédacteur | 100 | 1 537 |
Stagiaire 2e année | 95 | 1 528 |
Stagiaire 1re année | 90 | 1 506 |
Barème de pige rédactionnel
Au 1er avril 2018; le barème de pige redactionnel des journalistes professionnels est fixé à 42,67 € brut le feuillet de 1 500 signes pour une diffusion dans un titre de presse diffusé à 5 000 exemplaires et moins et 45,71 € le feuillet de 1 500 signes pour une diffusion dans un titre de presse diffusé à plus de 5 000 exemplaires.
Au 1er juillet 2018; le barème de pige redactionnel des journalistes professionnels est fixé à 42,84 € brut le feuillet de 1 500 signes pour une diffusion dans un titre de presse diffusé à 5 000 exemplaires et moins et 45,89 € le feuillet de 1 500 signes pour une diffusion dans un titre de presse diffusé à plus de 5 000 exemplaires.
Textes Attachés : Egalité professionnelle entre femmes et hommes
13 juillet 2018
L'accord du 8 juin 2017 relatif à l'égalité professionnelle entre femmes et hommes est inséré dans la convention collective du journalisme ainsi que dans la convention collective de la radiodiffusion. Cet accord est étendu par arrêté du 29 juin 2018. En raison de son extension, les présentes dispositions sont applicables à tous les employeurs et tous les salariés entrant dans le champ d'application des conventions collectives susmentionnées.
Objet de l'accord
Les parties signataires veulent par cet accord affirmer leur volonté de parvenir à une égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Par conséquent, elles ont décidé d'agir sur les facteurs d'inégalité professionnelle et de harcèlement sexuel et aux agissements sexistes. Pour cela, plusieurs mesures doivent être instaurées pour réaliser cet objectif :
Mesures
Les mesures en vue de réaliser l'objectif mentionné ci-dessus concernent :
- le recrutement : interdiction pour les entreprises de recruter un salarié sur un critère illicite ou discriminatoire. Cette interdiction concerne notamment les offres d'emploi, le processus et critères de recrutement, les candidatures reçues et les candidatures retenues, la rémunération à l'embauche.
- le parcours et les évolutions professionnelles : respect de l'égalité des hommes et des femmes en ce qui concerne les possibilités d'évolution en termes de parcours professionnel et de rémunération.
- la formation professionnelle : les femmes et les hommes doivent participer aux mêmes formations qu'il s'agisse de développement des compétences individuelles et professionnelles ou pour l’adaptation aux évolutions de l’entreprise. En effet, l'accès à la formation et l'organisation de la formation doivent être identiques pour les femmes et les hommes.
- l'égalité salariale et promotion : le respect du principe d'égalité de traitement entre les femmes et les hommes est fondamental. Les signataires souhaitent également mettre en place des mesures visant à corriger les écarts de salaire entre les femmes et les hommes.
- la maternité, paternité, et parentalité : l'égalité entre les femmes et les hommes s'entend également à ce niveau : la maternité (garantie pendant la grossesse, garanties pendant le congé de maternité ou d'adoption), la paternité, le congé parental d'éducation à temps complet, les congés parentaux à temps partiel ainsi que le maintien du lien dans l'entreprise.
- faciliter l'articulation entre l'activité professionnelle et l'exercice de la responsabilité familiale : ceci s'apprécie notamment au niveau de l'organisation des réunions (réunions trop matinales ou tardives doivent être évitées), de plus un aménagement des horaires lors de la rentrée des classes est possible. Le dons de jours de repos est également envisageable.
Plusieurs indicateurs de suivi font l'objet d'une attention particulière à l’occasion de la réalisation du rapport de branche annuel. A titre d'exemple ; mobilités par sexe et par classification, coût moyen des formations suivies par sexe et par statut, nombre de demandes de jour de rentrée scolaire par sexe, etc.
Textes Salaires : Salaires minima au 1er février 2018 (agences de presse)
07 juillet 2018
L'accord non étendu du 30 janvier 2018 concerne les salaires minima pour les journalistes d'agence de presse de la convention collective journalistes.
Revalorisation des salaires
Les salaires au 1er février 2018 ont été revalorisés de +1,0%.
Ainsi, la valeur du point de l'ensemble des barèmes de salaires minima des journalistes d'agence de presse, a été modifiée par les annexes du présent accord. Les annexes du présent accord représentent des tableaux concernant:
- le barème des journalistes permanents des agences de presse photographiques
- le barème des journalistes permanents des agences de presse écrite
- le barème des journalistes permanents des agences de presse radio
- le barème des journalistes permanents des agences de presse audiovisuelles (télé)
- le barème des journalistes rémunérés à la pige des agences de presse radio et audiovisuelles
La valeur du point est désormais de 15,6037122.
Par ailleurs, dans les annexes, une partie est consacrée aux salaires mensuels bruts minima garantis (pour 169 heures) en fonction de l'emploi et du coefficient appliqué à l'emploi du salarié.
Par exemple, un journaliste dessinateur dont le coefficient est de 145 dispose d'un salaire minima garanti de 2 262,54 euros par mois.
Ces salaires minima sont majorés d'une prime d'ancienneté. A titre d'exemple, pour une ancienneté de 15 ans dans la profession, le salaire minima est majoré de 9% et pour une ancienneté de 15 ans dans l'entreprise le salaire minima est majoré de 6%.
Au-delà de ces éléments, une partie des annexes est consacrée au barème minimum de piges.
Cette partie est scindée en deux temps: un temps consacré au paiement à l'acte et un temps consacré au paiement à la journée (pour les JRI).
A titre d'exemple, le paiement à l'acte d'une information ou d'une alerte téléphonique par les agences de presse radio et audiovisuelles est de 14,15€.
La Pige pour une journée de travail de permanence d'un titulaire est de 84,59€.
Enfin, il convient de noter qu'en présence de reporteur d'images, le barème minima est majoré de 20% pour les JRI qui assurent en outre la rédaction du commentaire.
Textes Attachés : Formation professionnelle
28 avril 2018
L'avenant non étendu du 6 novembre 2017 à l'accord du 29 mars 2005 concerne la formation professionnelle de la convention collective des journalistes.
Modification 28/11/2018 : Suite à l'arrêté d'extension du 21 novembre 2018 (JORF n°0275 du 28 novembre 2018), les dispositions de l'avenant du 6 novembre 2017 sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d'application de la présente convention collective.
Champ d'application
Le présent avenant s'applique en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer, et s'applique aux entreprises et à leurs filiales qui ont pour activité principale l'édition de publications périodiques sous forme imprimée ou numérique, destinées au grand public ou à des publics spécifiques, et à l'ensemble de leurs salariés en CDI ou CDD, en temps partiel ou temps plein.
Ainsi, ces entreprises relèvent des activités suivantes :
- les hebdomadaires et magazines grand public d’information générale, d’information économique, financière
- l’édition de programmes pour les émissions de radio ou de télévision
- les périodiques sportifs, automobile, domestiques
- les périodiques pour la jeunesse.
Sont exclus du présent avenant :
- les entreprises relevant de la convention collective nationale des employés de la presse spécialisée
- les entreprises relevant de la convention collective nationale des cadres de la presse spécialisée
- les entreprises relevant de la convention collective nationale des employés de la presse hebdomadaire régionale
- les entreprises relevant de la convention collective nationale des cadres de la presse hebdomadaire régionale.
A noter que, le présent avenant remplace les dispositions obsolètes de l'accord du 29 mars 2005 relatif à la formation professionnelle.
Accès aux dispositifs de formation
En application de l'article L.6321-1 du code du travail, l'employeur assure l'adaptation des salariés à leur poste de travail et veille au maintien de leur capacité à occuper un emploi, au regard de l'évolution des emplois, des technologies, et des organisations. De fait, plusieurs dispositifs peuvent être mobilisés.
- Dispositif de formation
La formation professionnelle continue est ouverte aux salariés : ils ont accès par exemple, au plan de formation, la mobilisation du compte personnel de formation (CPF), les périodes de professionnalisation, l'apprentissage, les contrats de professionnalisation, le congé individuel de formation (CIF)
- Conseil en évolution professionnelle (CEP)
Conformément à l'article L.6111-6 du code du travail, le CEP est accessible à toute personne. Ainsi, les organismes compétentes pour délivrer le service du CEP sont pôle emploi, APEC (Association pour l'emploi des cadres), AFDAS (Assurance Formation des Activités du Spectacle), et Cap emploi (pour les personnes en situation de handicap). Le CEP est un conseil gratuit, personnalisé, qui accompagne la mise en œuvre des projets d'évolution professionnelle.
- Entretien professionnel
Lors de l'embauche, le salarié est informé qu'il bénéfice tous les 2 ans d'un entretien professionnel. Cet entretien est différent de l'entretien d'évaluation. De plus, cet entretien doit être systématiquement proposé au salarié qui reprendre son activité à l'issue d'un congé de maternité, d'un congé parental d'éducation, d'un congé de proche aidant, d'un congé d'adoption, d'un congé sabbatique, d'une période de mobilité volontaire sécurisée, d'une période d'activité à temps partiel, d'un arrêt longue maladie ou au terme d'un mandat syndical.
Par ailleurs, tous les 6 ans l'entretien professionnel donne lieu à un bilan faisant un état des lieux récapitulatif du parcours professionnel du salarié. Ce bilan permet alors de vérifier si le salarié a bénéficié au cours des 6 dernières années des entretiens professionnels et surtout de voir si le salarié à :
- suivi au moins une action de formation
- acquis des éléments de certification par la formation ou par la validation des acquis de son expérience
- bénéficie d'une progression salariale ou professionnelle.
A noter que, dans les entreprises d'au moins 50 salariés, si au cours des 6 années, le salarié n'a pas bénéficié des entretiens prévus, et d'au moins deux des trois mesures mentionnées ci-dessus, l'employeur est tenu de procéder à un abondement au titre du compte personnel de formation du salarié à hauteur de 100 heures pour un salarié à temps complet, et de 130 heures pour un salarié à temps partiel.
Contribution des entreprises
- Assiette des contributions et échéance de versement à l'AFDAS
L’assiette des contributions est constituée de l'ensemble des rémunérations entrant dans l'assiette des cotisations de sécurité sociale. Mais, si les cotisations de sécurité sociale sont calculées de façon forfaitaire, les contributions sont assises sur les rémunérations brutes après déductions forfaitaires pour les frais professionnels. Ainsi, les entreprises versent obligatoirement à l'AFDAS, la contribution légale conformément aux articles L.6331-2 et suivant du code du travail.
- Contribution légale
La contribution légale est fixée en fonction des effectifs de l'entreprise comme suit :
- pour les entreprises de moins de 11 salariés, la contribution légale au financement de la formation professionnelle est fixée à 0,55% du montant des salaires bruts versés aux salariés en CDI et en CDD. Cette contribution est alors composée de 0,4% destiné au financement du plan de formation et 0,15% destiné au financement de la professionnalisation.
- pour les entreprises de plus de 11 salariés, la contribution légale au financement de la formation professionnelle est fixée à 1% du montant des salaires bruts versés aux salariés en CDI et en CDD. Cette contribution est alors composée de 0,15% destiné au financement du congé individuel de formation, 0,2% destiné au financement du compte personnel de formation, 0,2% destiné au financement du plan de formation, 0,3% destiné au financement de la professionnalisation et 0,15% versé au fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels.
- pour les entreprises occupant de 50 à 299 salariés, la contribution légale au financement de la formation professionnelle est fixée à 1% du montant des salaires bruts versés aux salariés en CDI et en CDD. Cette contribution est alors composée de de 0,2 % destiné au financement du congé individuel de formation, 0,2% destiné au financement du compte personnel de formation, 0,1% destiné au financement du plan de formation, 0,3% destiné au financement de la professionnalisation et 0,2% versé au fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels.
- pour les entreprises occupant 300 salariés et plus , la contribution légale au financement de la formation professionnelle est fixée à 1% du montant des salaires bruts versés aux salariés en CDI et en CDD. Cette contribution est alors composée de 0,2 % destiné au financement du congé individuel de formation, 0,2% destiné au financement du compte personnel de formation, 0,4% destiné au financement de la professionnalisation, 0,2% versé au fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels.
- Financement des congés individuels de formation des salariés en CDD
Pour le financement du congé individuel de formation des salariés en CDD, les entreprises versent obligatoirement à l'AFDAS une contribution dont le montant est égal à 1% calculée sur la masse salariale brute versée aux titulaires d'un CDD pendant l'année. Mais, si le CDD s'est poursuivi par un CDI, le versement n'est pas dû.
- Contribution conventionnelle mutualisé
Il est crée une contribution conventionnelle que les entreprises de plus de 11 salariés verseront chaque année pendant la durée du présent avenant. Ainsi, la contribution conventionnelle est versée à l'AFDAS et le montant de cette contribution conventionnelle est fixé comme suit :
- 0,1% du montant des salaires bruts versé aux salariés en CDI et aux salariés en CDD pour les entreprises de 11 à 45 salariés, intégralement mutualisé.
- 0,4% du montant des salaires bruts versé aux salariés en CDI et aux salariés en CDD pour les entreprises de 50 salariés et plus.
- Contribution volontaire
A noter que, toute entreprise (peu importe son effectif), peut verser auprès de l'AFDAS une contribution supplémentaire dont l'objet est le développement de la formation professionnelle continue. Ainsi, cette contribution volontaire est inscrite au compte de l'entreprise et peut être utilisée en complément des financements obtenus au titre de la contribution légale.
- Contribution au titre de la taxe d'apprentissage
Les partenaires sociaux incitent les entreprises à verser la taxe d'apprentissage à l'AFDAS (organisme collecteur de la taxe d'apprentissage).
Utilisation de la contribution conventionnelle
La contribution conventionnelle peut être utilisée pour financer ou cofinancer :
- des actions de formation réalisés dans le cadre du plan de formation de l'entreprise ou de la période de professionnalisation, au bénéfice de salariés occupant des métiers émergents, ou des métiers sensibles.
- des actions de formation de longue durée en vue de reconversions professionnelles internes ou externes
- des formations réalisées dans le cadre du compte personnel de formation, et du congé individuel de formation.
Textes Salaires : Salaires de la presse périodique régionale
07 février 2018
L'accord non étendu du 7 novembre 2017, concerne les salaires de la presse périodique régionale dans le cadre de la convention collective des journalistes.
Salaire de la presse périodique
Les partenaires sociaux ont fixé et augmenté le barème des salaires des journalistes de la presse périodique régionale.
L'augmentation est égale à 0,50% et est applicable depuis le 1er décembre 2017. Par cette augmentation la valeur du point égal à 3,91€ brut.
Pour rappel la présente convention des journalistes contient les dispositions permettant de régir les relations professionnelles entre employeurs et journalistes. Le journaliste professionnel est celui qui rédige régulièrement des articles dans des publications ou dans des agences de presse.
Peuvent avoir la qualité de journalistes les rédacteurs-traducteurs, les rédacteurs-réviseurs, les reporters-photographe. Il est exclus de ce champ les collaborateurs occasionnels.
Textes Salaires : Revalorisation des barèmes de salaires pour l'année 2014
18 octobre 2017
L'accord non étendu du 26 mai 2014, concerne la revalorisation des barèmes de salaires pour 2014 de la convention collective de journalistes.
Revalorisation
Avant tout, ce texte est récemment paru au JO et au BOCC, il est donc ajouté dans le texte conventionnel à ce jours.
Les négociations au niveau de la branche détermine notamment l'évolution des barèmes de salaires pour les catégories de personnels des conventions collectives de la PQN. Elles fixent ainsi les salaires minimaux que les entreprises relevant de la convention PQN sont tenues d'appliquer à leurs salariés.
Les parties signataires se sont décidés sur la revalorisation des barèmes. Elle est la suivante:
- pour les ouvriers et cadres techniques! 0,5% au 1er avril 2014
- pour les employés et cadres administratifs: 0,5% au 1er mai 2014
- pour les journalistes, y compris les pigiste: 0,5% au 1er mai 2014
La revalorisation des barèmes de la PQN n se cumule pas avec l'évolution des salariés négociée par les NAO, les accords spécifiques salariaux ou toutes mesures de revalorisation de
Pour rappel, la présente convention régit les professionnels du journalisme. Elle régit les relations professionnelles entre employeurs et journalistes employés.
Le journaliste qualifié peut être un rédacteurs-traducteur, rédacteur-réviseurs, reporter-photographe. Les collaborateurs occasionnels sont exclus.
Textes Salaires : Revalorisation des barèmes de salaires pour 2017
18 octobre 2017
L'accord non étendu du 4 avril 2017, concerne la revalorisation des barèmes de salaires pour 2017 de la convention collective de journalistes.
Lesconventions concernées
La revalorisation des barèmes de salaires minimum de la PQN (presse quotidienne nationale) va concerner plusieurs cadres conventionnels, qui sont les suivant:
- Convention collective des ouvriers, des entreprises de presse de la région parisienne (IDCC: 214)
- Convention collective des employés de la presse quotidienne parisienne (IDCC: 0394)
- Convention collective des cadres administratifs dela presse quotidienne parisienne (IDCC: 0509)
- Convention collective nationale des journalistes (IDCC: 1480)
Revalorisation des barèmes
La revalorisation des barèmes de la PQN des ouvriers, employés, cadres techniques, cadres administratifs et les journalistes, y compris les pigistes, sont les suivantes:
- 0,6% à compter du 1er juin 2017
- 0,5% à compter du 1er décembre 2017
Le non cumul de la revalorisation
La revalorisation des barèmes de la PQN ne se cumule pas avec l'évolution des salaires qui est négociée de façon obligatoire annuellement.
Il est à noter que l'évolution des salaires est indépendante de celle des barèmes, à la condition que le salaire soit au moins égal au barème PQN pour l'emploi qu'il occupe. Le barème représente donc un salaire plancher pour le travailleur.
Textes Salaires : Salaires minima au 1er juillet 2017
03 octobre 2017
L'accord non étendu fixe les salaires minima au 1er juillet 2017 des journalistes.
Modification 05/01/2018 : Suite à l'arrêté d'extension du 26 décembre 2017 (JORF n°0304 du 30 décembre 2017), les dispositions de l'accord du 10 mai 2017 relatif à la révision quinquennale de la grille des salaires minima des journalistes de la presse périodique sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ d'application de la présente convention collective.
Modifications
- De nouveaux coefficients ont été attribués : 413 à 617.
- Les postes de journaliste stagiaire ont été regroupés sous le même coefficient (413). A noter que la durée reste la même c'est-à-dire 24 mois. Néanmoins la durée est de 12 mois pour les journalistes diplômés d'une école reconnue par la CCN ou issus de la filière localiers de la PHR.
- Une nouvelle grille de salaires est établie. Sa mise en oeuvre effective est intervenue le 1er juillet 2017. Les salaires de base ne peuvent pas être inférieurs au SMIC.
- En septembre 2017 ont été ouvertes les négociations sur les définitions des postes de journalistes.
Barème des salaires des journalistes
Journaliste stagiaire (1er-12e mois) : 1 606,57€ pour le nouveau coeff 413 (ancien : 112)
Journaliste stagiaire (13e-24e mois) : 1 606,57€ pour le nouveau coeff 413 (ancien : 115)
Reporter photo 1er échelon : 1 629,91€ pour le nouveau coeff 419 (ancien : 120)
Secrétaire de rédaction 1er échelon : 1 629,91€ pour le nouveau coeff 419 (ancien : 125)
Journaliste polyvalent 1er échelon : 1 629,91€ pour le nouveau coeff 419 (ancien : 125)
Secrétaire de rédaction multimédia 1er échelon : 1 653,25€ pour le nouveau coeff 425 (ancien : 130)
Reporter photo 2e échelon : 1 653,25€ pour le nouveau coeff 425 (ancien : 130)
Journaliste polyvalent 2e échelon : 1 715,49€ pour le nouveau coeff 441 (ancien : 135)
Rédacteur détaché : 1 715,49€ pour le nouveau coeff 441 (ancien : 135)
Secrétaire de rédaction 2e échelon : 1 715,49€ pour le nouveau coeff 441 (ancien : 135)
1er secrétaire de rédaction : 1 758,28€ pour le nouveau coeff 452 (ancien : 140)
Secrétaire de rédaction multimédia 2e échelon : 1 758,28€ pour le nouveau coeff 452 (ancien : 140)
Chef de service ou d’agence : 1 820,52€ pour le nouveau coeff 468 (ancien : 145)
Journaliste polyvalent 3e échelon: 1 820,52€ pour le nouveau coeff 468 (ancien : 145)
Chef d’édition(s) : 1 886,65€ pour le nouveau coeff 485 (ancien : 150)
Secrétaire général de la rédaction : 1 886,65€ pour le nouveau coeff 485 (ancien : 150)
Rédacteur en chef adjoint : 2 205,63€ pour le nouveau coeff 567 (ancien : 175)
Rédacteur en chef : 2 400,13€ pour le nouveau coeff 617 (ancien : 190)
Dans certains cas le salaire peut être majoré :
- Pour tenir compte du tirage : au-dessus de 20 000 ex. : majoration de 10 %
- Pour tenir compte de la périodicité : bi-hebdo : majoration de 10 % et tri-hebdo : majoration de 15 %
Lorsque le journaliste utilise son appareil photographique personnel, il perçoit une indemnité de 38,11 €.
Textes Salaires : Salaires minima au titre de l'année 2016
11 août 2017
Cet accord étendu en date du 25 janvier 2017 fixe les salaires minima au titre de l'année 2016 pour la convention collective des journalistes. En raison de son extension, les dispositions du présent accord sont rendues obligatoires à tous les salariés et à tous les employeurs entrant dans le champ d’application de ladite convention collective.
Rappel des valeurs de points
Ces valeurs résultent de l'accord du 17 décembre 2015, étendu par arrêté du 14 juin 2016. Elles sont, par conséquent, applicables pour les salaires depuis le 1er juillet 2016 :
- la valeur du point A est de 12,24 € pour tous les salariés, jusqu'à l'indice 120
- la valeur du point B est de 9,93 € pour chaque point supplémentaire à partir de 121
Négociation sur les salaires 2016
Les partenaires sociaux ont convenu d'augmenter le point A de 1,1% et le point B de 0,2%.
Ainsi, chaque point d’indice jusqu’au niveau 120 prendra la valeur de 12,38 € ; cette valeur étant désignée valeur de point A et chaque point supplémentaire à partir de 121 prendra la valeur de 9,95 € cette valeur étant désignée valeur de point B.
Mode de calcul des salaires minimums conventionnels
Les salaires minima conventionnels (SC) se calculent de la manière suivante :
SC = (120 × valeur de point A) + (Z × valeur de point B)
A titre informatif :
- La somme (120 + Z) est égale au nombre de points de l’indice appliqué au salaire considéré.
- Variable Z : si l’indice du salarié est de 120, alors Z = 0 et si l’indice du salarié est supérieur ou égal à 121, alors l’indice du salarié sera de – 120 .
Négociation relative à la lutte contre les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes
Les partenaires sociaux prévoient de poursuivre en 2017 une négociation spécifique sur les inégalités femmes/hommes dans le secteur et de convenir des dispositions susceptibles de les réduire et les supprimer dans la branche.
Textes Attachés : Création d'un régime de santé et de prévoyance
21 juin 2017
Cet avenant étendu n°1 en date du 15 mai 2016 modifie l'accord du 17 décembre 2015 relatif à la création d'un régime de santé et de prévoyance pour la convention collective des journalistes. En raison de son extension, les dispositions du présent avenant sont rendues obligatoires à tous les salariés et à tous les employeurs entrant dans le champ d’application de ladite convention collective.
Modification - Article 6
Une erreur matérielle a été constatée dans l'article 6 "Frais de soins de santé" : le tableau des garanties ne fait pas apparaître l'ensemble des garanties (nature et niveaux) arrêtés par les partenaires sociaux, dans le strict respect des dispositions légales et réglementaires (en particulier les prothèses non dentaires, l'optique hors verres et les actes hors nomenclature). La nouvelle grille précise la nature des actes et le régime socle (prestations y compris remboursement de la sécurité sociale) :
- Hospitalisation médicale ou chirurgicale y compris maternité
- Séjour : 125% BR
- Actes chirurgie (ADC), anesthésie (ADA), autres honoraires : 125% BR
- Forfait journalier hospitalier (18€ au 1er janvier 2012) : 125% des frais réels
- Chambre particulière : 1,5% PMSS/jour
- Frais d'accompagnement enfant de moins de 12 ans : 1% PMSS/jour
- Reste à charge 18€ > 120€
- Participation forfaitaire sur actes techniques lourds : pris en charge
- Frais de transport en ambulance acceptés SS : 100% BR
- Séjours divers (maison de repos, sanatorium, préventorium, aérium, centre de rééducation ou de réadaptation fonctionnelle)
- Secteur conventionné et non conventionné : néant
- Actes médicaux
- Généralistes : 100% BR
- Spécialistes : 150% BR
- Auxiliaires médicaux, analyses : 100% BR
- Actes chirurgie (ADC), actes techniques médicaux (ATM), actes d'imagerie médicale (ADI), actes d'échographie (ADE) : 150% BR
- Actes de prévention : 100% BR
- Pharmacie acceptée sécurité sociale
- Pharmacie acceptée sécurité sociale (65%, 30% et 15%) : 100% BR
- Dentaire
- Soins (y compris parodontose acceptée SS) : 100% BR
- Prothèses dentaires remboursées par la sécurité sociale : 150% BR
- Inlay-Onlay : 150% BR
- Prothèses dentaires non remboursées par la sécurité sociale : 150% BR (reconstitué)
- Orthodontie acceptée par la SS (moins de 16 ans) : 150% BR
- Orthodontie refusée par la SS : 150% BR (reconstitué)
- Parodontologie et implants dentaires : 200€/an/personne
- Prothèses non dentaires acceptées sécurité sociale
- Prothèses auditives : 125% BR
- Orthopédie et autres prothèses (remboursement différent en fonction des prothèses) : 125% BR
- Optique
- Verres : cf grille optique
- Montures : 10 €
- Lentilles acceptées et réfusées par la SS : forfait annuel 7% PMSS avec un remboursement minimum du TM
- Chirurgie réfractive (par oeil) : néant
- Maternité
- Forfait : 4% PMSS
- Actes hors nomenclature
- Acupuncture, chiropractie, ostéopathie, diététicien, psychologue : 1% PMSS/séance (3 fois par an)
La grille optique hors monture est conservée et les autres articles de l'accord du 17 décembre 2015 demeurent inchangés.
Textes Salaires : Salaires minima au 1er février 2017 (agences de presse)
09 juin 2017
L'accord non étendu du 18 janvier 2017 fixe les salaires minima au 1er janvier 2017 de la convention collective des journalistes.
Revalorisation des salaires minima
Les barèmes de salaires minima des journalistes d'agences de presse sont revalorisés au 1er février 2017 de + 0,5 %.
Suppression du coefficient 95
Le coefficient 95 du barème des journalistes permanents des agences radio est supprimé. De plus les coefficients des rédacteurs stagiaires sont fixés de la manière suivante :
- Rédacteur stagiaire plus de 13 mois : 110
- Rédacteur stagiaire du 4e au 12e mois : 105
- Rédacteur stagiaire du 1er au 3e mois : 100
Agences de presse photographiques
Rédacteur en chef : 3 398,83 € pour un coefficient 220
Secrétaire général de la rédaction : 2 780,86 € pour un coefficient 180
Secrétaire de rédaction : 2 471,88 € pour un coefficient 160
Chef du service photo : 2 471,88 € pour un coefficient 160
Éditeur photo : 2 162,89 € pour un coefficient 140
Reporter photo – 3e échelon : 2 162,89 € pour un coefficient 140
Rédacteur – 3e échelon : 2 162,89 € pour un coefficient 140
Maquettiste : 2 008,40 € pour un coefficient 130
Rédacteur polyvalent : 2 008,40 € pour un coefficient 130
Journaliste dessinateur : 2 008,40 € pour un coefficient 130
Reporter photo – 2e échelon : 2 008,40 € pour un coefficient 130
Rédacteur – 2e échelon : 2 008,40 € pour un coefficient 130
Reporter photo – 1er échelon : 1 853,91 € pour un coefficient 120
Rédacteur – 1er échelon : 1 853,91 € pour un coefficient 120
Rédacteur stagiaire – plus de 18 mois : 1 823,01 € pour un coefficient 118
Rédacteur stagiaire – du 13e au 18e mois : 1 776,66 € pour un coefficient 115
Rédacteur stagiaire – du 4e au 12e mois : 1 683,96 € pour un coefficient 109
Rédacteur stagiaire – du 1er au 3e mois : 1 544,92 € pour un coefficient 100
Indemnité d'appareil : coeff 5, 77,25 €
Prime de langue : + 10 %
Prime d'ancienneté : 3 % dans la profession, 2 % dans l'entreprise pour 5 années / 6 % dans la profession, 4 % dans l'entreprise pour 10 années / 9 % dans la profession, 6 % dans l'entreprise pour 15 années / 11 % dans la profession, 9 % dans l'entreprise pour 20 années
Agences de presse texte
Rédacteur en chef : 3 862,31 € pour un coefficient 250
Rédacteur en chef adjoint : 3 476,07 € pour un coefficient 225
Secrétaire général de la rédaction : 3 167,09 € pour un coefficient 205
Secrétaire de rédaction : 2 780,86 € pour un coefficient 180
Chef du service photo : 2 780,86 € pour un coefficient 180
Reporter photo 3e échelon : 2 471,88 € pour un coefficient 160
Rédacteur 3e échelon : 2 471,88 € pour un coefficient 160
Maquettiste : 2 240,14 € pour un coefficient 145
Rédacteur polyvalent : 2 240,14 € pour un coefficient 145
Journaliste dessinateur : 2 240,14 € pour un coefficient 145
Reporter photo – 2e échelon : 2 240,14 € pour un coefficient 145
Rédacteur – 2e échelon : 2 240,14 € pour un coefficient 145
Reporter photo – 1er échelon : 2 085,64 € pour un coefficient 135
Rédacteur – 1er échelon : 2 085,64 € pour un coefficient 135
Rédacteur stagiaire – plus de 18 mois : 1 969,78 € pour un coefficient 127,5
Rédacteur stagiaire – du 13e au 18e mois : 1 853,91 € pour un coefficient 120
Rédacteur stagiaire – du 4e au 12e mois : 1 699,41 € pour un coefficient 110
Rédacteur stagiaire – du 1er au 3e mois : 1 544,92 € pour un coefficient 100
Indemnité d'appareil : coeff 5, 77,25 €
Prime de langue : + 10 %
Prime d'ancienneté : 3 % dans la profession, 2 % dans l'entreprise pour 5 années / 6 % dans la profession, 4 % dans l'entreprise pour 10 années / 9 % dans la profession, 6 % dans l'entreprise pour 15 années / 11 % dans la profession, 9 % dans l'entreprise pour 20 années
Agences de presse radios
Rédacteur en chef : 3 630,57 € pour un coefficient 235
Rédacteur en chef adjoint : 3 012,60 € pour un coefficient 195
Chef des informations : 2 780,86 € pour un coefficient 180
Chef de service : 2 549,12 € pour un coefficient 165
Sous-chef de service : 2 317,38 € pour un coefficient 150
Rédacteur reporter présentateur 4e échelon : 2 162,89 € pour un coefficient 140
Rédacteur reporter présentateur 3e échelon : 2 008,40 € pour un coefficient 130
Rédacteur reporter présentateur 2e échelon : 1 853,91 € pour un coefficient 120
Rédacteur reporter présentateur 1er échelon : 1 776,66 € pour un coefficient 115
Rédacteur stagiaire – plus de 13 mois : 1 699,41 € pour un coefficient 110
Rédacteur stagiaire – du 4e au 12e mois : 1 622,17 € pour un coefficient 105
Rédacteur stagiaire – du 1er au 3e mois : 1 544,92 € pour un coefficient 100
Prime de langue : + 10 %
Prime d'ancienneté : 3 % dans la profession, 2 % dans l'entreprise pour 5 années / 6 % dans la profession, 4 % dans l'entreprise pour 10 années / 9 % dans la profession, 6 % dans l'entreprise pour 15 années / 11 % dans la profession, 9 % dans l'entreprise pour 20 années
Agences de presse audiovisuelles (télé)
Rédacteur en chef : 5 299,08 € pour un coefficient 343
Éditorialiste : 5 299,08 € pour un coefficient 343
Rédacteur en chef adjoint : 4 433,93 € pour un coefficient 287
Secrétaire général de rédaction : 4 171,29 € pour un coefficient 270
Chef des informations : 3 862,31 € pour un coefficient 250
1er secrétaire de rédaction : 3 630,57 € pour un coefficient 235
Secrétaire de rédaction unique : 3 630,57 € pour un coefficient 235
Chef de service ou d’édition : 3 476,07 € pour un coefficient 225
Sous-chef de service : 2 935,35 € pour un coefficient 190
Grand reporter et grand reporter cameraman : 2 935,35 € pour un coefficient 190
Secrétaire de rédaction : 2 858,11 € pour un coefficient 185
Rédacteur reporter – 4e échelon : 2 858,11 € pour un coefficient 185
Reporter cameraman – 4e échelon : 2 858,11 € pour un coefficient 185
Rédacteur reporter – 3e échelon : 2 703,61 € pour un coefficient 175
Reporter cameraman – 3e échelon : 2 703,61 € pour un coefficient 175
Secrétaire de rédaction adjoint : 2 549,12 € pour un coefficient 165
Rédacteur reporter – 2e échelon : 2 549,12 € pour un coefficient 165
Reporter cameraman 2e échelon : 2 549,12 € pour un coefficient 165
Rédacteur reporter – 1er échelon : 2 394,63 € pour un coefficient 155
Reporter cameraman – 1er échelon : 2 394,63 € pour un coefficient 155
Sténographe rédacteur : 2 162,89 € pour un coefficient 140
Rédacteur stagiaire – plus de 18 mois : 2 131,99 € pour un coefficient 138
Rédacteur stagiaire – du 13e au 18e mois : 1 931,15 € pour un coefficient 125
Rédacteur stagiaire – du 4e au 12e mois : 1 776,66 € pour un coefficient 115
Rédacteur stagiaire – du 1er au 3e mois : 1 544,92 € pour un coefficient 100
Prime de langue : + 10 %
Prime d'ancienneté : 3 % dans la profession, 2 % dans l'entreprise pour 5 années / 6 % dans la profession, 4 % dans l'entreprise pour 10 années / 9 % dans la profession, 6 % dans l'entreprise pour 15 années / 11 % dans la profession, 9 % dans l'entreprise pour 20 années
Agences de presse radios et audiovisuelles
- 1. Paiement à l’acte
Information, alerte téléphonique : 14,01 €
Document commandé ou accepté, diffusé ou non : papier (33,78 €), bobinot et élément sonore (40,80 €), document visuel (48,53 €)
Journaux radio :
Vacation avec présentation : le matin (82,33 €), le midi ou le soir (55,00 €)
Vacation sans présentation : le matin (55,00 €), le midi ou le soir (33,80 €)
- 2. À la journée (pour les JRI)
Dossier, enquête (sur un sujet précis commandé ou accepté, diffusé ou non) : pige journalière 82,33 €
Pige pour 1 journée de travail :
a) Dossier, enquête :
- stagiaire moins de 1 an : 86,09 €
- stagiaire plus de 1 an : 92,40 €
- titulaire : 104,97 €
b) Permanence :
- stagiaire moins de 1 an : 69,40 €
- stagiaire plus de 1 an : 74,07 €
- titulaire : 83,75 €
Le barème minimum est majoré de 20 % pour les JRI qui assurent en outre la rédaction du commentaire.
Textes Attachés : Adhésion du SPIIL à la convention collective des journalistes
02 décembre 2016
Par la présente lettre en date du 23 août 2016, le syndicat de la presse indépendante d'information en ligne (SPIIL) adhère à la convention collective des journalistes.
Adhésion
Le syndicat de la presse indépendante d'information en ligne adhère par la présente lettre à la convention collective des journalistes et à ses avenants.
Textes Attachés : Adhésion à l'avenant de révision de l'annexe III relative au régime particulier de prévoyance des journalistes professionnels rémunérés à la pige
23 août 2016
Par la présente lettre en date du 15 avril 2016, l’association des chaînes conventionnées éditrices de services (ACCeS) adhère à l’avenant de révision de l’annexe III à l’accord national du 9 décembre 1975 concernant le régime particulier de prévoyance des journalistes professionnels rémunérés à la pige.
Adhésion
L'association des chaînes conventionnées éditrices de services adhère par la présente lettre à l’avenant de révision de l’annexe III à l’accord national du 9 décembre 1975 relative au régime particulier de prévoyance des journalistes professionnels rémunérés à la pige signé le 24 septembre 2015. La prise d'effet de cette adhésion intervient le 1er janvier 2016.
Textes Attachés : Formation des journalistes rémunérés à la pige
05 juillet 2016
Cet accord non étendu du 9 mars 2016 prévoit de nouvelles dispositions relatives à la formation des journalistes rémunérés à la pige. Il annule et remplace les dispositions de l'avenant du 30 janvier 2009 relatif aux journalistes professionnels rémunérés à la pige
Dispositions de l'accord
Le présent accord prévoit de nouvelles dispositions concernant les points suivants :
- Titre Ier Champ d'application : s'applique aux journalistes professionnels au sens des articles L. 7111-3 et L. 7111-4 du code du travail, rémunérés à la pige et titulaires de la carte d'identité professionnelle des journalistes professionnels. Exclusion des journalistes pigistes pour lesquels la pige est le complément d'un CDI à temps complet.
- Titre II Accès aux dispositifs de formation : Principes généraux, allocation de formation, plan de formation, périodes de professionnalisation, congé individuel de formation, bilan de compétences et validation des acquis de l'expérience, compte personnel de formation.
- Titre III Suivi du parcours professionnel des journalistes pigistes : Conseil en évolution professionnelle, suivi de parcours professionnel personnalisé.
- Titre IV Collecte des fonds pour la formation des pigistes : Contribution légale, contributions conventionnelle et forfaitaire.
- Titre V Commission « journalistes pigistes » : Missions de la commission « journalistes pigistes ».
Textes Attachés : Durée de travail des personnels à temps partiel
29 avril 2016
Cet avenant étendu en date du 8 juillet 2015 modifie les articles 2 et 3 de l'accord du 6 novembre 2014 relatif à la durée de travail des personnels à temps partiel.
Nouvelle version de l’article 2
- Entreprises de type 1 :
Emploi pourra être pourvu par un salarié à temps partiel pour une durée minimale hebdomadaire de 10 heures.
- Entreprises de type 2 - groupes éditeurs de service de type 3 :
Contrats à temps partiel assortis d’un temps de travail hebdomadaire au moins égal à 17 h 30.
- Toute entreprise de types 2 et 3 de la branche :
Emploi pour une durée hebdomadaire minimale de 12 heures dans certains cas.
- Remplacement d'un salarié :
Dérogation à la durée hebdomadaire dans le cadre d'un CDD conclus pour un motif de remplacement d'un salarié absent sur une durée de travail identique.
Article 2 :
"Les conditions spécifiques et garanties dont est assorti l’emploi des salariés à temps partiel dont le temps de travail hebdomadaire est inférieur à 24 heures sont précisées à l’article 4.
Mesure applicable aux seules entreprises de type 1 : pour pouvoir répondre aux besoins spécifiques d’emploi des petites entreprises qui composent la branche, un emploi pourra être pourvu par un salarié à temps partiel pour une durée minimale hebdomadaire de 10 heures dans les entreprises exploitant des services de type 1.
Mesure applicable aux entreprises de type 2 qui sont indépendantes des entreprises et groupes éditeurs de services de type 3 : les personnels pourront être employés au sein de ces entreprises de l'activité de radiodiffusion pour des contrats à temps partiel assortis d’un temps de travail hebdomadaire au moins égal à 17 h 30, sous réserve de l’application à ces salariés des dispositions particulières prévues au présent accord. Sont exclues de cette dérogation les entreprises exploitant des services de type 3 ainsi que toutes les autres entreprises de la branche entrant dans le périmètre de contrôle des entreprises exploitant des services de type 3, au sens de l’article L. 233-3 du code de commerce.
Pour l’application de ces mesures, les types de services 1, 2 et 3 s’entendent tels qu’ils sont définis dans les dispositions étendues de l’accord relatif à la définition et à la classification des fonctions et aux salaires minimum de la convention collective de la radiodiffusion du 5 décembre 2008.
En outre, toute entreprise de types 2 et 3 de la branche pourra pourvoir un emploi pour une durée hebdomadaire minimale de 12 heures dans les cas suivants :
– pour répondre aux situations spécifiques des salariés en situation de handicap et en temps partiel thérapeutique et sur demande du salarié ;
– pour répondre aux situations spécifiques des salariés souhaitant bénéficier d’un congé parental d’éducation à temps partiel et pour permettre une réponse adaptée de l’employeur ;
– pour répondre aux situations spécifiques des salariés bénéficiaires d’allocation d’aide au retour à l’emploi auxquels il est permis d’exercer une activité réduite cumulée aux indemnités chômage ;
– pour répondre aux situations spécifiques des salariés relevant des dispositifs du contrat unique d’insertion et des ateliers d’insertion.
Il pourra également être dérogé à la durée hebdomadaire dans le cadre de contrats à durée déterminée conclus pour un motif de remplacement d’un salarié absent sur une durée de travail identique à la sienne."
Nouvelle version de l’article 3
Article 3 :
Les durées minimales de temps de travail ne pourront pas être imposées à l'occasion de la réalisation des prestations pour les pronostiqueurs, les artistes interprètes et musiciens, les voix antenne et speakers de messages publicitaires, les humoristes, les astrologues, critiques, experts, les commentateurs sportifs non journalistes, les intervenants des émissions et opérations spéciales.
Les journalistes pigistes pourront également être employés aux conditions de ce statut spécifique
"Les pronostiqueurs, les artistes interprètes et musiciens, les voix antenne et speakers de messages publicitaires, les humoristes, les astrologues, critiques, experts, les commentateurs sportifs non journalistes, les intervenants des émissions et opérations spéciales pourront être employés pour répondre aux demandes particulières des émissions, sans que des durées minimales de temps de travail ne puissent être imposées à l’occasion de la réalisation de ces prestations, sous réserve du caractère ponctuel des prestations réalisées.
Les journalistes pigistes pourront également être employés aux conditions de ce statut spécifique lié à la demande par l’employeur d’une prestation éditoriale qui ne saurait entrer dans le champ d’une durée minimale de travail."
Textes Attachés : Durée de travail des personnels à temps partiel
29 avril 2016
Cet avenant étendu en date du 8 juillet 2015 modifie les articles 2 et 3 de l'accord du 6 novembre 2014 relatif à la durée de travail des personnels à temps partiel.
Nouvelle version de l’article 2
- Entreprises de type 1 :
Emploi pourra être pourvu par un salarié à temps partiel pour une durée minimale hebdomadaire de 10 heures.
- Entreprises de type 2 - groupes éditeurs de service de type 3 :
Contrats à temps partiel assortis d’un temps de travail hebdomadaire au moins égal à 17 h 30.
- Toute entreprise de types 2 et 3 de la branche :
Emploi pour une durée hebdomadaire minimale de 12 heures dans certains cas.
- Remplacement d'un salarié :
Dérogation à la durée hebdomadaire dans le cadre d'un CDD conclus pour un motif de remplacement d'un salarié absent sur une durée de travail identique.
Article 2 :
"Les conditions spécifiques et garanties dont est assorti l’emploi des salariés à temps partiel dont le temps de travail hebdomadaire est inférieur à 24 heures sont précisées à l’article 4.
Mesure applicable aux seules entreprises de type 1 : pour pouvoir répondre aux besoins spécifiques d’emploi des petites entreprises qui composent la branche, un emploi pourra être pourvu par un salarié à temps partiel pour une durée minimale hebdomadaire de 10 heures dans les entreprises exploitant des services de type 1.
Mesure applicable aux entreprises de type 2 qui sont indépendantes des entreprises et groupes éditeurs de services de type 3 : les personnels pourront être employés au sein de ces entreprises de l'activité de radiodiffusion pour des contrats à temps partiel assortis d’un temps de travail hebdomadaire au moins égal à 17 h 30, sous réserve de l’application à ces salariés des dispositions particulières prévues au présent accord. Sont exclues de cette dérogation les entreprises exploitant des services de type 3 ainsi que toutes les autres entreprises de la branche entrant dans le périmètre de contrôle des entreprises exploitant des services de type 3, au sens de l’article L. 233-3 du code de commerce.
Pour l’application de ces mesures, les types de services 1, 2 et 3 s’entendent tels qu’ils sont définis dans les dispositions étendues de l’accord relatif à la définition et à la classification des fonctions et aux salaires minimum de la convention collective de la radiodiffusion du 5 décembre 2008.
En outre, toute entreprise de types 2 et 3 de la branche pourra pourvoir un emploi pour une durée hebdomadaire minimale de 12 heures dans les cas suivants :
– pour répondre aux situations spécifiques des salariés en situation de handicap et en temps partiel thérapeutique et sur demande du salarié ;
– pour répondre aux situations spécifiques des salariés souhaitant bénéficier d’un congé parental d’éducation à temps partiel et pour permettre une réponse adaptée de l’employeur ;
– pour répondre aux situations spécifiques des salariés bénéficiaires d’allocation d’aide au retour à l’emploi auxquels il est permis d’exercer une activité réduite cumulée aux indemnités chômage ;
– pour répondre aux situations spécifiques des salariés relevant des dispositifs du contrat unique d’insertion et des ateliers d’insertion.
Il pourra également être dérogé à la durée hebdomadaire dans le cadre de contrats à durée déterminée conclus pour un motif de remplacement d’un salarié absent sur une durée de travail identique à la sienne."
Nouvelle version de l’article 3
Article 3 :
Les durées minimales de temps de travail ne pourront pas être imposées à l'occasion de la réalisation des prestations pour les pronostiqueurs, les artistes interprètes et musiciens, les voix antenne et speakers de messages publicitaires, les humoristes, les astrologues, critiques, experts, les commentateurs sportifs non journalistes, les intervenants des émissions et opérations spéciales.
Les journalistes pigistes pourront également être employés aux conditions de ce statut spécifique
"Les pronostiqueurs, les artistes interprètes et musiciens, les voix antenne et speakers de messages publicitaires, les humoristes, les astrologues, critiques, experts, les commentateurs sportifs non journalistes, les intervenants des émissions et opérations spéciales pourront être employés pour répondre aux demandes particulières des émissions, sans que des durées minimales de temps de travail ne puissent être imposées à l’occasion de la réalisation de ces prestations, sous réserve du caractère ponctuel des prestations réalisées.
Les journalistes pigistes pourront également être employés aux conditions de ce statut spécifique lié à la demande par l’employeur d’une prestation éditoriale qui ne saurait entrer dans le champ d’une durée minimale de travail."
Textes Attachés : Prévoyance des journalistes rémunérés à la pige
24 février 2016
Cet avenant non étendu du 24 septembre 2015 vient modifier l'annexe III à l'accord national professionnel de retraite du 9 décembre 1975 afin de créer un financement obligatoire par les employeurs, c'est-à-dire une garantie complémentaire de frais de santé supérieure aux minima du "panier de soins" du décret du 8 septembre 2014. La date d'effet du présent avenant est fixée au 1er janvier 2016.
Création des titres Ier et II de l’annexe III
Un titre Ier "Régime maternité-incapacité-invalidité-décès" est ainsi inséré entre le préambule et l'article 1er de l'annexe. Par ailleurs, l'article 3 alinéa 1er est modifié; le taux contractuel global des cotisations nécessaires à la couverture de l'ensemble des risques est de 0,95%. La répartition de ce taux contractuel est la suivante : 0,74% à la charge de l'entreprise et 0,21% à la charge des intéressés.
De plus, un second titre "Régime de frais de santé" est créé.
Bénéficiaires du régime
Le régime conventionnel de frais de santé est ouvert à tous les journalistes professionnels rémunérés à la pige.
Financement des garanties frais de santé
- Cotisations des employeurs : les entreprises entrant dans le champ d'application ont l'obligation de s'acquitter d'une cotisation égale à 0,40% de chaque pige versée. Les cotisations versées seront ainsi affectées au fonds collectif. Néanmoins, dans certains cas les entreprises pourront être exonérer du paiement de cette cotisation.
- Cotisations des journalistes : la cotisation mensuelle est égale à 1,20% du plafond mensuel de la sécurité sociale.
Constitution du fonds collectif
Les cotisations acquittées par les employeurs pour chaque pige versée constituent le fonds collectif. La gestion de ce fond est confiée à l'institution de prévoyance, Audiens Prévoyance.
Les journalistes professionnels rémunérés à la pige pourront bénéficier d'une prise en charge partielle de leurs cotisations mensuelles pour le mois en cours et les 2 mois qui suivent la perception d'une pige (qui a donné lieu à un versement par l'employeur). Ces journalistes professionnels bénéficieront de la participation du fonds pendant toute l'année civile lorsqu'un montant minimum de 0,08% du plafond annuel de la sécurité sociale de cotisations aura été versé par l'employeur a leur profit (la participation s'élève à 50% de la cotisation de 1,20% par mois).
Commission de suivi et Comité de pilotage
- Commission paritaire de suivi : cette commission est chargée d'analyser les éléments d'information et les propositions issus des travaux du comité paritaire de pilotage du régime. Elle est composée d'organisations représentatives de la profession.
- Comité paritaire de pilotage : le présent avenant précise les diverses missions confiées au comité. A titre illustratif, le comité transmet à la commission paritaire de suivi de l’accord les comptes rendus de ses travaux et propositions pour la pérennité du régime, assure un suivi de l’alimentation et de l’utilisation du fonds collectif, etc. De plus, le comité est composé de 12 représentants désignés parmi chacune des organisations syndicales des salariés et 12 représentants des organisations patronales de la profession.
Textes Salaires : Barème minimum de pige
03 février 2016
Cet accord non étendu du 5 mai 2015 vient remplacer le barème de pige applicable dans les entreprises adhérentes de l'ex-SPPMO, et ce, conformément à l'article 6 du protocole d'étape du 30 septembre 2013 sur les barèmes de salaires et les catégories conventionnelles des journalistes au sein des entreprises adhérentes au SEPM (syndicat des éditeurs de la presse magazine).
Tarifs minima de pige
Les tarifs minima de pige des entreprises adhérentes au SEPM sont prévus de la manière suivante :
- Feuillet (1500 signes : 25 lignes de 60 signes et espaces) : 53,46€
- L'écho : 22,47€
- Chaque dessin accepté : 84,66€
- Croquis ou illustrations d'articles : 54,44€ (le premier), 41,06€ (le deuxième), 23,09€ (le troisième)
- Cabochon, lettrine illustrée, cul-de-lampe : 33,20€
Adaptabilité du barème
Le barème de pige fera l'objet de nouvelles négociations 18 mois après la signature de cet accord afin d'étudier l'adaptabilité de ce dernier aux formats numériques.
Textes Salaires : Salaires minima pour l'année 2014
13 mai 2015
Textes Salaires : Salaires minima pour l'année 2014
06 mars 2015
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Accès rapide aux autres conventions collectives
Conventions par intitulé Conventions par N° de brochure Conventions par N° IDCC Conventions par Code NAF Liste des codes APESommaire de la convention collective
Convention collective nationale du 1er novembre 1976
Objet et domaine de la convention
Durée. - Dénonciation. - Révision
Droit syndical et liberté d'opinion
Comités d'entreprise. - Délégués du personnel
Principes professionnels
Collaborations multiples
Formation professionnelle
Congé enseignement du journalisme
Formation professionnelle continue
Stagiaires
Recrutement
Prêt et location de main-d'oeuvre
Contrat à durée déterminée
Commission paritaire de l'emploi
Engagement
Période d'essai
Lettre d'engagement
Visites médicales
Salaires
Minima garantis
Prime d'ancienneté
Définition de l'ancienneté
Treizième mois
Variation des salaires
Bulletin de paie
Remplacement provisoire
Durée du travail
Travail de nuit
Congés payés
Récupération des jours fériés
Congés exceptionnels
Maladie. - Accident du travail. - Absences
Paiement des appointements
Incapacité permanente et décès
Journalistes rémunérés à la pige
Assurances pour risques exceptionnels
Remplacement en cas de maladie ou d'accident
Réintégration
Maternité
Obligations militaires
Licenciement
Règles à observer
Changement de statut
Préavis
Conflits. - Conciliation. - Arbitrage
Conflits individuels
Conflits collectifs
Arbitrage
Dispositions diverses
Retraite
Changement de résidence
Indemnité de résidence
Avenants
Textes Attachés
ANNEXE I - Formation professionelle
ANNEXE II
ANNEXE PQR
ANNEXE Presse quotidienne départementale
Annexe III Prévoyance
Application de l'article 38 de la convention collective nationale de travail des journalistes du 1er
1976 modifiée
Note et lettre de la fédération nationale de la presse française sur le régime spécial des collaborateurs de
rédaction rémunérés à la pige
CLASSIFICATIONS
Accord applicable aux journalistes de la presse hebdomadaire et périodique et de la presse
parisienne
Grille de qualifications des fonctions de journalistes dans la presse hebdomadaire parisienne
2e et 3e catégories)
Définition des fonctions de journalistes dans la presse hebdomadaire parisienne (1re, 2e et
catégories)
Adhésion
CLASSIFICATION
Création de la qualification 'chef de service ou d'agence '
Presse hebdomadaire régionale
Introduction de nouvelles techniques - Collège journalistes de la presse hebdomadaire régionale
Droits d'auteur
Préambule
1. Champ d'application de l'accord
2. Objet de l'accord
3. Modalités de mise en oeuvre
4. Dispositions concernant les rémunérations
5. Modalités de suivi de l'accord
6. Durée de l'accord
7. Condition suspensive
Accord relatif à la banque d'échanges photos (PQR)
Formation professionnelle
Préambule
Adhésion
Formation professionnelle
Journalistes rémunérés à la pige
Préambule
Critères de reconnaissance de cursus
Critères de reconnaissance des formations au journalisme
Critères de reconnaissance
Formation professionnelle des journalistes professionnels rémunérés à la pige
Préambule
TITRE Ier COLLECTE ET MODE DE GESTION DES FONDS DE FORMATION DÉDIÉS AUX PIGISTES
Collecte des fonds
Gestion des fonds
TITRE II L'ACCÈS DES JOURNALISTES RÉMUNÉRÉS À LA PIGE À LA FORMATION PROFESSIONNELLE
AU LONG DE LA VIE PROFESSIONNELLE
A.- Dispositions générales
Actions prioritaires
Plan de formation de l'entreprise
Contrat de professionnalisation
Période de professionnalisation
B. - Dispositions particulières
Droit individuel à la formation
Congé individuel de formation
Assiette de calcul de la remunération ou de l'allocation du pigiste en formation
TITRE III DISPOSITIONS FINALES
Dépôt
Date. - Durée d'application. - Dénonciation
Mise en oeuvre transitoire
Commission de suivi et d'interprétation
Formation professionnelle
Emploi des travailleurs handicapés en presse quotidienne départementale
Préambule
I. - Champ d'application
II. - Obligation d'emploi de travailleurs handicapés
III. - Action de sensibilisation
IV. - Non-discrimination
V. - Recrutement
VI. - Formation
VII. - Maintien dans l'emploi du personnel handicapé
VIII. - Durée d'application et suivi
IX. - Dépôt
Annexes
Egalité professionnelle entre les hommes et les femmes en presse quotidienne départementale
Préambule
Annexes
FILPAC CGT
Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences 2012-2014
I. - Contexte de l'activité des entreprises de la presse quotidienne régionale
II. - Champ d'application de l'accord-cadre
III. - Principes, finalités et moyens d'accompagnement de la GPEC dans les entreprises de PQR
IV. - Actions de la branche dans le cadre de la démarche de GPEC
VI. - Dispositions finales
Droits d'auteur
Préambule
I. - Champ d'application
II. - Objet de l'accord
III. - Rémunération des droits d'auteur
IV. - Respect du droit moral du journaliste
V. - Commission de suivi
VI. - Application et durée
VII. - Révision
VIII. - Adhésion
IX. - Dénonciation
X. - Dépôt et publicité
Formation professionnelle
Instauration d'un barème de pige (presse spécialisée)
Durée de travail des personnels à temps partiel
Prévoyance des journalistes rémunérés à la pige
Préambule
Chapitre Ier Modification de l'annexe III à l'accord national professionnel de retraite du 9 décembre 1975
Chapitre II Dispositions finales
Textes Salaires
Salaires au 1er décembre 2000
SANOV, SAPHIR, SAM, SAM-SATEV, SAPIG
PIGES (audiovisuel)
Encadrement non journaliste SAPHIR-SAPIG SAM-SANOV-SATOV
Salaires
Salaires
Grille des salaires des nouveaux embauchés
Salaires
Annexe
Annexe
Annexe
Salaires et valeur du point au 1er février 2011
Salaires au 1er juillet 2011
Annexe
Salaires au 1er novembre 2011
Annexe
Salaires minima au 1er janvier 2012
Salaires minimaux au 1er juillet 2012
Annexe
Salaires minima 2012-2013 des journalistes de la presse d'information spécialisée
Annexe
Salaires minima pour l'année 2013
Salaires et catégories conventionnelles
Préambule
Salaires minima pour l'année 2014
Barème minimum de pige
Textes Extensions
ARRETE du 2 février 1988
ARRETE du 21 juin 1988
ARRETE du 8 octobre 2003
ARRETE du 26 mai 2004
ARRETE du 5 novembre 2004
ARRETE du 21 novembre 2005
ARRETE du 1 février 2006
ARRETE du 5 juin 2007
ACCORD du 21 décembre 1994
Préambule
Statuts
Création - Dénomination.
Champ d'application.
Objet.
Adhésions ultérieures et dénonciation.
Ressources.
Structure de MEDIAFOR
Le conseil d'administration.
Direction.
Organisation de la structure administrative.
Organisation de la comptabilité.
Contrôle des comptes.
Organisation de la structure formation
Les sections et fonds.
Organisation interne de la section.
Dispositions diverses
Règlement intérieur.
Modification du présent acte de constitution.
Dissolution de MEDIAFOR.
Le premier président.
Date d'effet.
Dévolution.
Textes Attachés
ANNEXE (Champ d'application)
Textes Extensions
ARRETE du 25 juin 1997
ACCORD du 5 septembre 1996
Préambule
Création.
Objet.
Organisation de la section.
Administration.
Décisions.
Révision.
Accord du 26 novembre 1999
ACCORD du 5 septembre 1996
Textes Salaires
Salaires (presse quotidienne départementale)
Avenant du 31 décembre 2003
Entreprise de moins de 10 salariés.
Entreprise de 10 salariés et plus.
Evaluation.
Assiette des contributions.
Le versement des contributions.
Les CPNEFP.
Financement de la formation des emplois aidés.
Le champ d'application.
Demande d'adhésion.
* Les activités correspondantes à cette CCN sont proposées à titre indicatif. Pour rappel, l'article L2261-2 du Code du travail stipule :
"La convention collective applicable est celle dont relève l'activité principale exercée par l'employeur. En cas de pluralité d'activités rendant incertaine l'application de ce critère pour le rattachement d'une entreprise à un champ conventionnel, les conventions collectives et les accords professionnels peuvent, par des clauses réciproques et de nature identique, prévoir les conditions dans lesquelles l'entreprise détermine les conventions et accords qui lui sont applicables."